Vivreaupresent

En France, tous professionnels confondus, on recense 5,6 personnes pour s'occuper de 10 résidents alors qu'il en faudrait 10.
Dans des cas extrême, il y a 1 seul soignant pour 99 résidents. Ce soignant dit ceci : "Je ne travaille pas dans un lieu de vie médicalisé, je suis dans une usine d'abattage" . Ce sont des soins à la chaîne ; il faut bâcler le travail . 
1/3 des établissements sont considérés comme dangereux pour les résidents. 
Certains établissements économisent sur les besoins élémentaires de leurs clients : hygiène, activité... 
Les toilettes express remplacent les douches et même si les résidents ne souffrent pas d'incontinence, ils portent des protections (des couches) qu'ils gardent souvent souillés plus de 5 h. Ils n'ont le droit qu'à 4 couches maximum par jour...
1/4 des habitants d'Ehpad souffriraient de malnutrition. S'ils ne peuvent pas s’alimenter seul, très souvent, aucun soignant ne les aide par manque de temps et /ou d'envie... Certains résidents peuvent perdre 20 kg. C'est donc aux familles d'aller faire manger les résidents handicapés et ceci 2 fois par jour et bénévolement....
20 minutes de marche pourraient éviter les escarres mais pas de promenade pour ceux qui ne peuvent pas marcher tout seul, le personnel n'en a pas le temps et quand il a le temps, il préfère papoter dans des salles de repos avec son équipe....  Le personnel demande aux familles des résidents de venir quotidiennement promener les clients des maisons de retraite.  Et si les résidents n'ont pas de famille, ils ne sont jamais sortis et ils finissent par mourir de faim....

Le 30/05/2019

Rediffusion 

Ils soignent les troubles articulaires, circulatoires, respiratoires, gynécologiques, ORL, maux de dos, migraines, maux d'estomac... Mais ils ne soignent pas les cancers, les fractures, les maladies neurologiques et microbiennes.

Que font-ils ? Ils commencent par interroger les patients/clients. Ils demandent ensuite au patient de s'allonger. La zone atteinte doit être découverte comme chez le généraliste. Ils font parfois mettre torse nu ou en soutien-gorge. Ils appuient, font bouger les articulations ou les autres parties du corps à guérir. Les gestes sont sans douleur. Il faut compter de 1 à 10 séances. Ces séances peuvent durer 30 secondes ou 45 minutes. Certaines mutuelles prennent en charge ces séances.

«J'ai perdu mon fils parce qu'il ronflait la nuit». Mansour, un père de famille toulousain, vit un cauchemar. Avec son épouse Fatima, ils viennent de perdre leur seul enfant, Aymen, à la suite d'une banale opération des amygdales et des végétations qui s'est déroulée le 3 février à l'Hôpital Pierre-Paul Riquet, une antenne flambant neuve du CHU de Purpan.
Hémorragie en salle de réveil
«Quand j'ai vu le bâtiment, j'avais confiance», racontait le père après l'opération. Malheureusement, Aymen, 21 mois, «un petit garçon en pleine santé, qui était allé chez le pédiatre deux fois dans sa vie», n'a pas survécu à l'intervention. Il a fait une hémorragie alors qu'il se trouvait en salle de réveil. Les lésions au cerveau provoquées étaient irréversibles. Le garçonnet est finalement mort le 7 février.
Et, désormais, Mansour et Fatima cherchent à comprendre comment cette opération «de 30 minutes» a pu bouleverser leur vie. Ils s'interrogent notamment sur les mesures prises par le personnel médical après l'hémorragie. Avec leur avocat, Philippe Courtois, ils ont déposé plainte le 12 février auprès du procureur de la République de Toulouse.
L'équipe médicale «touchée par la situation»
Le jour où son état s'est détérioré, «l’ORL a été rappelée en urgence et l’enfant brutalement enlevé des bras de sa mère pour être reconduit au bloc opératoire. On a expliqué aux parents dans un premier temps que leur fils "dormait" avant que les praticiens reconnaissent, au vu des protestations de la maman, que l’enfant était dans le coma, tout en indiquant que ce coma était volontaire et uniquement destiné à faire en sorte que l’enfant se repose et reprenne des forces», explique l’avocat dans un communiqué.
Le CHU n'a pas encore réagi à cette plainte. Mais, contacté par 20 Minutes le 5 février, alors que le petit Aymen était dans le coma, il indiquait que «l'équipe médicale et soignante était  touchée par la situation» et comprenait «l’immense détresse des parents». Le CHU rappelait aussi «les risques liés à toute intervention chirurgicale». Les conditions «semblent susceptibles d’engager la responsabilité pénale du Centre Hospitalier Universitaire de Toulouse (Hôpital Pierre Paul Riquet), de son personnel médical et paramédical», avance l’avocat des parents.

Mansour et Fatima vivent un cauchemar éveillé...

Il y a des médecins qui vendent des opérations comme une boulangère vend des pains au chocolat ! C’est un commerce juteux et dangereux, pour de simples ronflements... Un bâtiment tout beau, tout neuf, ça inspire confiance, c’est plus attractif qu’un vieil hôpital... 

Mansour et Fatima ne supportent pas les mensonges de l’équipe médicale et ça se comprend. L’absence de dialogue et les mensonges conduisent quasi immanquablement à un procès après une mort dans un bloc opératoire. Il faut une sanction pour qu’il y ait «réparation». Et c’est légitime et humain.
 
Ont-ils été informé des risques opératoires avant l’intervention ?

Une opération n’est jamais bénigne. Le risque 0 n’existe pas. Ceux qui disent le contraire sont des menteurs !

Une pensée pour Aymen.

Rediffusion d'une note du 17/02/2015 18:51

Nous serons 11 milliards d’habitants sur Terre à la fin du siècle, 2 milliards de plus que prévu, et 11,3 % est la part de la population mondiale qui souffre de la faim, contre 18,7 % dans les années 90.

Il y a urgence à ce que la pilule soit disponible pour tous et sans consultation médicale et que nous mangions tous moins de viande.

La captivante Anne-Sophie Lapix remplace désormais David Pujadas au 20 Heures de France 2. A 45 ans, avec sa blondeur, ses yeux clairs et sa silhouette sculpturale, Anne-Sophie Lapix a toutes les clés pour être une icône des temps modernes.

A l’âge de 10 ans, Anne-Sophie Lapix voulait déjà être journaliste. 

Après un bac scientifique préparé dans un lycée privé, elle est entrée à l’Institut d'études politiques de Bordeaux. Elle a ensuite passé 1 an en Angleterre à l'Université de Bristol et elle a enfin achevé ses études par un diplôme du Centre de formation des journalistes (CFJ).

En 2005, Anne-Sophie présentait avec brio le magazine Zone Interdite sur M6 et les infos de la mi-journée sur cette même chaîne. 

En 2006, Anne-Sophie Lapix devient le joker de la séduisante Claire Chazal sur TF1. Elle est une journaliste remarquable. Elle coprésente l'émission Sept à Huit avec le séduisant Harry Roselmack.

En 2008, Anne-Sophie Lapix interviewe les politiques sur Canal+, elle est douée certes mais trop partiale...

Certaines mauvaises langues prétendent que c'est surtout "ses connexions" qui lui ont valu d'être la présentatrice du JT de 20 h de France 2 . Et cela a fait bondir son mari, Arthur Sadoun (46 ans), qui est à la tête du géant de la communication Publicis (e troisième groupe mondial de communication, connu dans le monde entier pour sa créativité, son expertise ...). Voici ce qu'a dit  Arthur Sadoun : "Je ne parle jamais de ma vie privée afin de la protéger, mais là je vais sortir de ma réserve. Ca suffit ! La première fois que j'ai vu mon épouse, c'était il y a 10 ans : elle interviewait le premier ministre au 20 h de TF1. Elle n'a jamais eu besoin de mon aide, ni d'un carnet d'adresses. Le reste n'est que du sexisme d'un autre âge et manque de professionnalisme de certains médias".

Pourquoi la présidente de France Télévision a choisi la rayonnante Anne-Sophie Lapix ? "Anne-Sophie est une journaliste expérimentée, qui a déjà présenté des journaux de 20 h, ainsi qu'une excellente émission politique sur France 2 a déclaré Delphine Ernotte . 

Note de 2017

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