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Bonnemaison est un médecin soupçonné d'euthanasie à Bayonne

6 Juin 2016 , Rédigé par Authentiqua Publié dans #Actualités

 

 

 

L'urgentiste a confirmé certaines informations mettant l'accent sur "l'état de santé psychologique fragile" du médecin qui occupait, il y a encore quelques mois, le poste de chef du service des Urgences, avant d'être rétrogradé.

Le médecin soupçonné d'euthanasie active sur au moins quatre patients âgés au service des urgences à l'hopital de Bayonne devait être mis en examen vendredi pour "empoisonnement" sur "des personnes particulièrement vulnérables".

Nicolas Bonnemaison, 50 ans, devait être présenté à la mi-journée devant un juge d'instruction et mis en examen après une garde à vue de 48 heures dans les locaux de la police judiciaire.

Il risque la prison à perpétuité.

La décision de mise en examen concerne au moins quatre décès survenus au cours des cinq derniers mois, le dernier étant celui d'une patiente de 92 ans, morte le 3 août. Une information judicaire devait être parallèlement ouverte vendredi à l'encontre du médecin qui a été initialement visé, avant son interpellation mercredi, par une dénonciation adressée à la direction de l'hôpital par des agents de son service. [:adelttt][:adelttt][:adelttt][:-raphaele-:1]

Les décès suspects concernent des personnes âgées ayant été admises aux urgences tout en étant classées en "fin de vie", dans l'attente d'un placement dans un service de soins palliatifs.

Selon le quotidien Sud-Ouest, le médecin a reconnu les faits et indiqué aux enquêteurs avoir notamment administré aux patients décédés du Norcuron, un médicament à base de Curare pouvant entraîner la paralysie des muscles respiratoires.

Réagissant à cette affaire, qu'il a qualifiée "d'extrêmement grave", le président de l'Association des médecins urgentistes de France (AMUF), Patrick Pelloux, s'est félicité de l'ouverture d'une enquête de l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS)portant sur "les conditions du décès de personnes hospitalisées" à Bayonne. Le corps médical, a-t-il dit, "a besoin de comprendre ce qui s'est passé".

"Tout le monde a été sidéré par cette annonce et le personnel (du service des urgences) a eu raison d'alerter sa hiérarchie car la médecine n'est pas au-dessus des lois", a estimé M. Pelloux. [:adelttt][:adelttt]

L'urgentiste a confirmé certaines informations mettant l'accent sur "l'état de santé psychologique fragile" du médecin qui occupait, il y a encore quelques mois, le poste de chef du service des Urgences, avant d'être rétrogradé.

Selon M. Pelloux, "on pourra profiter de l'occasion pour se poser la question de la santé au travail. Etait-il en burn-out (épuisement professionnel) ?Aurait-il pu être mieux entouré ? Voilà pourquoi l'enquête de l'IGAS est importante".

L'hôpital de Bayonne a annoncé jeudi avoir "pris contact avec les familles des personnes" décédées et souligné que "la direction, la communauté médicale et l'ensemble du personnel (étaient) bouleversés par cette situation". Une "cellule d'appui psychologique" a été mise en place pour le personnel du service.

Tout en soulignant la nécessité de "respecter la présomption d'innocence", le directeur de l'établissement a fait part de sa totale coopération avec la justice ainsi qu'avec la mission de l'IGAS diligentée par le ministère de la Santé".

Par ailleurs, le docteur Xavier Mirabel, cancérologue, président de l'association "SOS fin de vie", s'est dit "choqué", dans une déclaration à l'AFP, "par certaines réactions de gens qui veulent relancer le débat sur l'euthanasie des personnes âgées". "Nous ne revendiquons pas l'acharnement thérapeutique mais prônons le soulagement de la douleur et la présence des proches. Il y a toujours des choses à faire".

Pour le Dr Mirabel, "l'idée de provoquer la mort est injuste et scandaleuse". [:adelttt][:adelttt]

 

 

Les agents du service des urgences de cet hôpital ont fait preuve de courage pour dénoncer les méthodes criminelles de cet individu immoral et déséquilibré.  Il en faut beaucoup de courage pour révéler l'inadmissible dans les établissements de soins où c'est la loi du silence. Le Directeur de cet établissement a eu, aussi, un comportement exemplaire, il aurait pu tenter d'étouffer l'affaire. C'est un homme valeureux, qui mérite notre admiration à tous.

Non,  Mr Pelloux, l'épuisement professionnel ne peut pas conduire à tuer ses semblables ! Il ne faut pas minimiser les faits. Bonnemaison se croyait protégé, bien tranquille et entouré de "complices".... Néanmoins les urgentistes et les jeunes internes font beaucoup trop d'heures successives pour pouvoir tenir le coup, c'est inhumain ce qu'on leur demande... C'est de la maltaitance !

 

 

Il risque la prison à perpétuité, je ne souhaite pas une peine aussi lourde pour lui, la peine doit-être plus clémente, les personnes étaient condamnées à mort... 

 

 Lorsqu'on va dans un hôpital  on y va en confiance, on y va pour se faire soigner, pas pour se faire tuer !. L'hôpital ne doit pas être un abattoir industriel d'humains !

 

J'espère que d'autres personnes suivront l'exemple de ces agents de service bienfaisants si des choses sordides et similaires se produisaient dans leur établissement et que ça dissuadera des criminels potentiels en blouse blanche de passer à l'acte. L'hôpital n'est pas la jungle !. Non, les infirmières et les médecins n'ont pas le droit de tuer en toute impunité et ils doivent payer pour leurs actes, leurs crimes.

 

 

Une petite pensée pour les victimes et leurs familles.

 

D'autres avis que le mien :

 

 

Katiba : 

 

il faut soutenir ce Médecin , il a juste fait une bonne chose, appaiser les douleurs de son malade, je sais par expérience que certaines personnes meurent dans d'atroces douleurs, la Famille regarde et dans leur fond intérieur demande la délivrance de leur Parent dans la mort, pourquoi attendre et le laisser agoniser pendant des jours pour en arriver à la mort ..........Soutenons ce Médecin qui se trouve dans la peine, sa carrière qui est finie pour un geste que la loi réprimande, chageons cette loi rapidement .

 

b.b 77

 

Nous devrions avoir une carte sur nous precisant que nous ne voulons pas d acharnement therapeutique, que l on nous laisse partir tranquille c est quand meme a nous de choisir tant que nous le pouvons !!

 

Chataïgne :

 

Etre médecin, ce n'est pas soigner ou faire mourir à volonté. Que les médecins qui soutiennent ce médecin 'irréprochable' et qui pensent qu'il y a lieu de débattre sur l'euthanasie, se demandent pourquoi ils soignent des AVC, des maladies cardiaques ou respiratoires et pourquoi ils sont prêts à prolonger la vie de personnes malades puis à donner la mort lorsqu'ils jugent inopportun de prolonger la vie. Tant qu'ils y sont, ils n'ont qu'à distribuer du canabis à tous ceux qui se sentent mal dans leur existence, puisque c'est en voie d'être légalisé

 

 

Nanou 283 :

 

faut il accabler un médecin qui prend le risque d'être considéré comme meurtrier alors qu'il fait peut être simplement acte de courage en prenant la grande responsabilité d'abbréger les souffrances de personnes n'ayant aucun espoir d'amèlioration de leur état? les familles des patients ne peuvent quêtre reconnaissantes à ce médecin. Ceci n'engage que moi mais c'est ma conviction personnelle, estimant que la souffrance n'est pas une fatalité.

 

Jack :

 

Ce medecin n'est pas un meurtrier mais un libérateur de la souffrance morale et physique, tous les patients etaient semble t- il en fin de vie. Qu'est ce qui est tolerable : laisser agoniser un être humain ou l'accompagner à partir dignement... Mon choix est depuis très longtemps fait.

 

Maladine :

 

Personnellement j'ai pris mes dispositions en demandant à mes proches de respecter mes choix,mon médecin est au courant aussi mais ...... J'ai perdu mon père il y a quelques mois,il était à l'hopital depuis plus d'un mois,il a du subir toutes les examens possibles ..... On ne pouvait plus rien pour lui et des jours durant je l'ai vu dans un tel état que je crois avoir souhaiter qu'il s'en aille,c'était mon père et je l'aimais ,mais le voir comme cela,je crois qu'il aurait souhaiter en finir au plus vite.. ne parlez pas de crimes SVP,il faudrait un conseil de médecins,de juristes pour autoriser que quelqu'un qui souffre puisse partir légalement.

 

 

 

Barbu

 

il est très dommage que nos politiques n'aient pas le courage de débattre en laissant de coté leurs croyances personnelles et en ne s'appuyant que sur la véritable attente de la majorité des français. Cet homme confronté journellement à côtoyer la souffrance et la misère morale, a certainement par humanité répondu favorablement à des demandes pressantes de patients n'en pouvant plus. Combien sommes nous en France à nous demander si quelqu'un pourra faire quelque chose pour nous le moment venu ? je crois que nous sommes très nombreux, pour ma part je ne souhaite pas subir ma vie c'est inhumain. Nous vivons dans un pays soi-disant civilisé et nous sommes incapable de légiférer sur un sujet aussi important que le choix de partir en toute dignité. La religion pèse encore de tout son poids sur notre vie même si nous n'adhérons pas à certains principes.

 

 

Lili :

 

Pour moi ce n'est pas un meurtre c'est un acte de courage, pourquoi maintenir des personnes en fin de vie, alors que je suis sure qu'eux meme demande d'abréger leur souffrance. si celà était mon cas ( et je souffre déjà), je voudrais bien qu'un médecin HUMAIN en fasse autant pour moi.

 

 

Cardinal :

 

Il faut signaler que ce ne sont pas les proches qui ont porté plainte, mais les soignants de l'équipe de ce médecin qui fait les choses "discrètement"sans aucune complicité .. Ceci montre pour le moins une différence d'appréciation entre le médecin et son équipe qui est habituée elle aussi a traiter les malades en fin de vie et qui comme lui souffre de certaines situations difficiles a supporter pour tout soignant . je considère comme particulièrement grave cette faille entre le médecin et son équipe. Si dans les hôpitaux tout le monde se met à " bricoler" isolément dans son coin c'est ingérable et désastreux Ce genre de situation doit être gérée par l'ensemble des soignants et de la famille du malade et ne doit jamais être une décision solitaire .Les médecins ne sont pas des anges, pourquoi ne pas envisager que certains se feraient payer par les familles pour hâter les succession ???On a tout vu en ce bas monde.

 

Marseille/paris :

 

Il faut qu'il y ait mort pour que vous publiez ! La véritable presse d'investigation à action préventive ne serait pas mal non plus ... Toute la presse se polarise sur la bourse actuellement, il y a quelques semaines c'était sur DSK ... Mais si notre presse se préoccupait des problèmes citoyens et faisait remonter l'information. Elle dépenserait de l'encre et du papier utilement ! Actuellement les chats et les chiens sont mieux traités par le corps médical que les humains. En effet chercher un dentiste qui vous prenne actuellement (si vous n'êtes pas client chez lui( rue J Ferry à Morsang/orge)), on vous renvoit à la Pitié-Salpétrière. Cependant j'hésite à y aller, mon voisin il y a quelques années s'était rendu à Villeneuve St Georges, il n'y avait en réalité personne. Mon chat est malade, ma femme l'emportera à deux pas de chez moi, chez le vétérinaire cet après-midi et ne trouvera pas porte close. Alors à une époque où 50% de la population, ne part plus en vacances, il n'y a même pas un dentiste qui pourra me recevoir avant septembre. C'est vrai, ils se dorent outre Pyrénées à Rosas ou même outre méditérranée en Israël. Bien que mon dentiste de la Croix rouge à Marseille m'avait bien recommandé de consulter sans tarder si cette dent me refaisait mal, quelque soit l'endroit où je me trouverais. Et je croyais qu'en plus pour les cardiaques il ne fallait pas laisser une infection se développer ... Au moins, eux retardent une dépense Sécu d'un mois, elle n'aura pas besoin d'emprunter en août pour me rembouser. Je ne suis pas sûr que ce soit un bon plan ! S'il faut remplacer la dent, il faudra acheter une prothèse dans le sud-est asiatique et alors là la balance commerciale et des paiements en prendront un coup, outre la dépense plus importante pour la Sécu.

 

Clochemire :

je souhaite à ceux qui sont contre l'abrogation de la souffrance de finir leurs jours dans les pires douleurs. Ils comprendront alors .............

 

 

Tristesse infinie :

 

Je pense hélas que c'est fréquent et que c'est aussi ce qui s'est passé pour mon vieux père cantonné pendant 2 jours au couloir des urgences et attaché sous perf et sous sédatif ... dossier immédiatement archivé après son décès je n'ai pas pu y avoir accès ni même savoir ce qui s'était passé alors qu'on m'avait rassurée la veille. Les témoignages en ce sens sont surement nombreux hélàs

 

 

Plume au vent  :

 

Il semble que l'emploi du mot MEURTRES dans le titre de cet article ait choqué les lecteurs. Or c'est bien de meurtres qu'il s'agit puisque la définition de ce mot est : fait de tuer volontairement une personne. Certes, dans ces cas il ne s'agit pas de meurtres crapuleux mais bien d'euthanasies dans le but de mettre fin à des souffrances.

 

Celina :

 

Les proches auront même pas pu les voir avant qu'ils s'en aillent...

 

 

Mimosa :

 

 Généralement si les familles se doutent que la vie de leurs parents très âgés a été abrégée sans qu'on leur ait demandé leur avis, bien souvent elles ne portent pas plainte soulagées qu'elles sont de ne plus avoir à s'occuper d'une charge qui leur devenait insupportable et aussi il ne faut pas se voiler la face,pouvoir profiter plus tôt d'un éventuel héritage.

 

 

Kaolin :

 

bonjour , le supplice comme vous dites , est ce pour vous ou pour votre belle-mère ou pour ne plus payer les soins et faire des économies.,, .?Avez-vous cherché à améliorer sa vie en lui amenant des livres , des vidéos à regarder ou autre chose ect... Beaucoup de gens sont d'accord pour l'euthanasie des autres pour se débarrasser de ce qui les gêne .Qu'en pensez-vous ?Et les fonctionnaires ne vous poussent t’ils pas à penser comme cela par hasard

 

Sylvie :

 

Et les maladies ils avaient demandé qu'on les aide à mourir? Si non, ce n'est pas de l'euthanasie. Cela n''aurait pas été un médecin, il est certain qu'un autre aurait été retenu en prison.

 

  B tout simplement :

 

Souvenez-vous de l'affaire Christine Malèvre : après avoir été proclamée "héroïne compassionnelle" par pas mal de médias, il a été en fait avéré que cette dame souffrait d'un fort complexe de toute-puissance, les gens qu'elle a piqués comme des animaux n'avaient RIEN demandé, ils avaient des proches qui venaient tous les jours, et à qui ils ne s'étaient jamais plaint d'être encore en vie, à qui ils ne demandaient pas l'euthanasie... Cette femme a été reconnue comme ce qu'elle est : une dérangée. Avant de décider que ce médecin a réellement agi par humanité, posez-vous des questions... Mon père est mort il y a quelques mois, paisiblement, ne s'était jamais plaint des soins (lourds) qu'il subissait, et a été heureux de partir entouré de toute la famille. Nous n'aurions jamais admis qu'un soi-disant soignant se permette de l'achever comme un animal alors qu'il ne demandait rien de tel !

 

 

Souricière :

 

Autant éplucher les dossiers médicaux des personnes très agées qui décèdent dans tous les hôpitaux !!! C'est souvent un problème de place et ça se passe dans les couloirs des urgences qui se tranforment en mouroirs et avec les gardes qui se succèdent on ne sait même plus quel médecin s'est occupé de qui et de quoi. C'est l'usine. Je ne veux pas juger ce médecin mais il est inacceptable et inadmissible que la décision soit prise sans explications préalables ni contact avec la famille à qui le plus souvent on dit de ne pas s'inquiéter et qui 24 heures plus tard apprend le décès sans avoir pu revoir le parent, sans savoir ce qui s'est passé, sans dossier médical à sa disposition (immédiatement archivé) et a beaucoup de mal à faire son deuil en débarquant directement à la morgue. Les personnes très agées ont peur d'être hospitalisées depuis quelques années .... PERSONNE ne devrait pouvoir prendre ce genre de décision SEUL. Que ce soit une équipe médicale, pourquoi pas. Et le seul but doit être de SOULAGER la souffrance quand on ne peut rien faire d'autre même si cela doit hâter la fin mais surement pas d'euthanasier !!!

 

 

http://www.leparisien.fr/faits-divers/un-medecin-de-l-hopital-de-bayonne-soupconne-de-meurtres-12-08-2011-1563372.php

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  Rediffusion d'une note du 12/08/2011

 

 

 

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La naissance est -elle trop médicalisée ? Il semble que oui...

2 Juin 2016 , Rédigé par Authentiqua Publié dans #Traditions des pays

 

Aujourd'hui, l'accouchement à l'hôpital est standardisé. Ainsi la parturiente doit venir à la maternité à jeun et ne rien absorber (ni aliment, ni boisson) pendant toute la durée du travail, au cas où une anesthésie générale serait nécessaireLa position allongée lui est souvent imposée, car elle faciliterait les examens. Si elle a demandé une péridurale, elle est perfusée et, à moins de disposer d'un déambulateur, elle ne peut plus marcher. On lui place un capteur sur le ventre, fixé à une ceinture élastique: ce monitoring permet de surveiller le rythme cardiaque du bébé. La maman se sent traitée comme une malade qu'elle n'est pas. Au moment de l'expulsion, le recours à l'épisiotomie reste majoritaire chez les femmes qui accouchent de leur premier enfant (51,9 %). Il y a des gynécologues qui arrivent avec leur forceps sous le bras quand on les appelle. Pour eux, il faut que le bébé soit sorti en 5 ou 6 min pour qu'ils retournent à leurs consultations très rapidement, pas de temps à perdre... Ils pratiquent une épisiotomie (une coupure, un acte un peu "barbare" au ciseau à vif, très douloureux, vous devez l'imaginer...), bien large pour poser les forceps, avec tous les désagréments qui s'ensuivent. Ca peut abîmer le périmé.

 

 

Les rapports sexuels peuvent être douloureux pendant plusieurs mois. Ces coupures éviteraient les déchirures dont les conséquences seraient plus lourdes pour les jeunes femmes.

Tout relève du confort de l'équipe médicale avant tout.  Des étriers de chaque côté... pour la patiente.

Est-il normal d'obliger une femme à accoucher allongée ? Priver la patiente de nourriture pendant toute la durée du travail, qui peut parfois excéder 12 heures pour un premier enfant, c'est assez dur voire inhumain. Le seul risque est d'avoir à intuber en cas t'anesthésie générale, et alors ? Ca demande juste un peu plus de travail à l'équipe.


Comment en sommes-nous arrivés à ça ?

Jusqu'au début du XX siècle, les femmes accouchaient presque toute à la maison. C'était semi-assises dans le lit, assises sur une chaise percée, debout... comme on le voulait.

C'est au début du XVIII siècle que l'accoucheur ou le gynécologue fait irruption dans cet univers très féminin. Il impose à la femme la position la plus commode pour lui, pour elle on s'en moque : couchée sur le dos. Il travaille avec de nouveaux instruments,: leviers, forceps, un premier vers la médicalisation. Il fait aussi les touchers vaginaux.

L'accouchement à l'hôpital apparaît dans les années 1920-1930 dans les grandes villes, à la campagne, on accouche encore chez soi. Mais à cette époque, on garde une image défavorable de l'hôpital, on préfère accoucher chez soi. Ils travaillent donc peu ces gynécologues de la première génération.

Après la seconde guerre mondiale, la natalité est très faible. L'Etat fait un choix politique : pour diminuer la mortalité des femmes en couche et des bébés, on encourage les accouchements à l'hôpital.

Aujourd'hui chaque grossesse est sous très haute surveillance. Dès que le test se révèle positif, la future mère entame le parcours du combattant. Une prise de sang pour confirmer puis un RV annuel avec la sage femme ou le gynécologue tous les mois. Trois échographies au minimum,des prises de sang pour contrôler le taux de sucre dans le sang et vérifier qu'elle n'a pas contracté la rubéole ou la toxoplasmose. A partir du 6 mois, 8 séances de préparation à l'accouchement.

Le risque 0 n'existe pas. Le 7 mai 1998, Sophie Porte décède d'une hémorragie 7 h après avoir accouché de sa seconde fille à la Clinique Ste Elisabeth de Neuilly. Traitée plus tôt, l'hémorragie aurait pu être stoppée...

Si un obstétricien à décidé d'opter pour la césarienne et qu'un incident se produit, le risque de réclamation et de procédure est bien plus faible qu'en cas d'accouchement par voie basse qui se déroule mal. Il aura pris toutes les précautions.
Il est plus confortable de programmer une césarienne vers 10 h que de se lever la nuit.
..


Il y a plus de décès chez les femmes qui subissent une césarienne que celles qui accouchent normalement, par voie basse.

 




Rediffusion d'une note d'aout 2009

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Audrey Pulvar a souffert d'être réduite au rôle de compagne d'un minsitre

2 Juin 2016 , Rédigé par Authentiqua Publié dans #stars peoples

Le temps passe tellement vite : cela fait près de neuf mois que Audrey Pulvar et Arnaud Montebourg se sont séparés . Une romance qui aura marqué la presse, laquelle avait reçu le fameux SMS de rupture de la part de la journaliste. Depuis, Audrey Pulvar est une femme qui se concentre sur elle-même et sur sa carrière. À 41 ans, elle semble bien dans ses baskets et balaye d'un revers de main les éventuels commentaires qui n'ont rien à faire dans sa vie.

Chroniqueuse depuis le mois d'octobre dernier dans l'émission Le Grand 8, elle fait part de sa satisfaction : "C'est un endroit où je me sens vraiment bien, ou je prends beaucoup de plaisir et c'est d'ailleurs pour cela que je n'hésite pas à faire le pitre et à payer de ma personne. C'est clair que j'ai aussi envie de faire autre chose à côté. Je le faisais avec Les Inrocks, cela s'est arrêté plus tôt que prévu ... J'espère que la saison prochaine des projets se concrétiseront".

Aujourd'hui, et avec beaucoup de recul, Audrey Pulvar estime que sa relation avec notre actuel ministre du redressement productif lui a coûté cher : "Ce serait malhonnête de prétendre le contraire. Je ne sais pas si je le referais. Je me suis toujours réalisée par moi-même, alors me retrouver réduite au rôle de 'compagne de' a été hyper violent. Je l'ai vécu de façon totalement injuste. J'étais une journaliste politique qui avait bonne réputation, et aujourd'hui on me peut me taper dessus, apparemment ça fait du bien à ceux qui le font. Des portes professionnelles se sont fermées. Maintenant je pense, et j'espère, que c'est derrière moi", confie-t-elle.

Après être revenue sur l'affaire du SMS ("Je l'avais envoyé pour avoir la paix, pour que les choses soient claires"), elle revient sur leurs deux métiers qui n'ont pas rendu les choses faciles : "Je pense que ma position de journaliste, d'éditorialiste, qui n'hésite pas à dire ce qu'elle pense, a dû être compliquée pour lui. Tout comme sa position de ministre, et pas l'un des plus discrets ni des plus consensuels, n'était pas facile à gérer pour moi non plus". Ça, c'est dit.

Plus loin, Audrey partage des anecdotes plutôt fun sur son ancien compagnon, qui aurait sur son lecteur mp3 du Céline Dion, du Michèle Torr, du Jean-Pierre François ou encore... des chansons des 2be3 : "Quand on s'est rencontrés il m'a dit qu'il écoutait des musiques pourries, ce à quoi j'ai répondu que je n'écoutais pas non plus que du Henry Purcell. Mais les 2be3, j'avoue, ce n'était pas possible !", commente-t-elle dans un rire.

 

Toutes les femmes ne sont pas faites pour être des potiches, et Audrey Pulvar fait partie de celles-là. Ce rôle semble mieux convenir à Valérie Trierweiler même si ses débuts de 1ère dame ont semblé bien durs pour elle, aussi.[:bwv1004] Ca ne doit pas du tout être évident, de ne plus pouvoir s'exprimer librement...[:bwv1004]Cependant je ne trouve pas que le ministre du redressement productif a des goûts musicaux pourris. ;)

L'essentiel , c'est que Mme Pulvar soit de nouveau épanouie, comme elle l'était avant d'être seulement "femme de".

Pour conserver toute crédibilité, pour être une journaliste impartiale, il faudrait peut-être arrêter de coucher ou même seulement de déjeuner ou de dîner avec les hommes politiques, à l'instar d'Elise Lucet.

 

 

Source : Gala

 

 

Rediffusion d'une note de mai 2013

 

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Wendy Bouchard, la nouvelle présentatrice de "Zone interdite"

8 Mai 2016 , Rédigé par Authentiqua Publié dans #stars peoples

 

Depuis septembre, la jolie Wendy Bouchard remplace la belle Mélissa Theuriau. Wendy a 33 ans. Une nouvelle équipe a été mise en place depuis la rentrée, en sept. 2012.

"C'etait mieux avant ou Elle était plus belle, Mélissa... Voilà le genre de message que j'ai tout de suite repéré sur Twitter ! Mais ce n'est pas grave, je vais me faire deux cicatrices sur le visage, et comme ça, je serai vraiment laide ! Non, je plaisante. Je n'ai pas du tout souffert, car l'équipe a été très accueillante." a révélé Wendy Bouchard.

Aimerait-elle présenter le 19.45 sur M6, le JT ?

"Le 19.45 est un très bon journal, mais M6 est venu me chercher pour Zone interdite. Je ne veux pas aller trop vite. C'est mieux de débuter à la télé avec une bimensuelle. Il faut une certaine expérience cathodique pour présenter le JT en direct chaque soir. Et puis surtout, je ne veux pas abandonner Europe 1" a allégué la charmante Wendy.

 

 

 

 

 

 

 

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Rediffusion d'un article du 23/02/2013

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Soyez prudents avec les billets SNCF revendus sur le net !

24 Avril 2016 , Rédigé par Authentiqua Publié dans #vie pratique

Avec l'augmentation des titres de transports non remboursables, un business de revente de billets de train sur le net s'est développé.

On peut trouver des sites entre particuliers sur le net et sans commission. http://www.kelbillet.com/

On peut aussi trouver des sites qui jouent des rôles de tiers pour mettre en confiance les clients, pour éviter les arnaques, mais avec commissionhttp://www.leguichet.fr/

Avec les billets cartonnés non nominatifs, pas de soucis à se faire, il est impossible ou presque de les falsifier. Mais c'est  plus risqué avec les e-billets et les IDTGV Imprimés de chez soi. Ils comportent des noms, et ils ne peuvent être utilisés que par la personne qui les a émis.  Si vous n'êtes pas le titulaire du billet, vous pouvez avoir une amende de 135 € + le prix du billet .

 

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Rediffusion d"une note de juillet 201

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