Quelles sont les maladies qui font baisser la vue ?
En voici quelques-unes :
- le vieillissement
- cataracte
- Le glaucome
- DMLA (dégénérescence liée à l'âge)
- des troubles de la circulation
Patrick Sébastien serait un ancien alcoolique
Patrick Sébastien a 61 ans.
Il se décrit comme un «saltimbanque».
Il est tantôt gentil, compassionnel, tantôt très sarcastique.
Il a 24 albums à son actif et il a écrit une vingtaine de livres.
Patrick Sébastien a besoin de bouger sans cesse, c’est un hyperactif.
«Je monte sur scène pour donner mais aussi pour recevoir et tenir debout. Je n'ai que ça pour survivre : le partage, l'amour, le public» a allégué Patrick.
Patrick Sébastien ne se couche jamais avant 4 h 30 du matin.
Il fume 40 cigarettes par jour.
Il a commencé à boire après sa première déception sentimentale. Il s’est mis rapidement au whisky et il en est devenu totalement dépendant. Il se levait à 4 h de l’après-midi, il vivait la nuit et il dormait le jour. Il s’est libéré de cette addiction en 1985. En 2015, il reconnait "ne pas être totalement guéri".
Patrick Sébastien anime Les années bonheurs presque tous les samedis soir sur France 2 à 20 h50.
Note de 2014
Rediffusion
Place au rire de comptoir
"La supériorité de l'allaitement au sein sur le biberon réside essentiellement dans le fait que son emballage est plus agréable à l'oeil et c'est le gynécologue qui me l'a dit quand ma femme a accouché à la maternité".
"La Formule 1, je ne regarde pas, j'habite près du périphérique et je vois ça tous les jours".
"Le scepticisme commence quand dans une église entre un flic et une bonne sœur, tu constates que ton portefeuille à disparu"
"J'ai toujours mis mon homme sur un piédestal, c'est plus pratique pour peindre le plafond".
"Mon docteur m'a dit Il n'existe qu'un seul remède contre le ronflement, c'est l'insomnie, c'est un savant, je peux lui faire confiance. J'ai payé 70 euros pour ce remède mais il est efficace".
"J'ai 90 ans, je cours toujours après les filles mais je ne me souviens plus pourquoi "
"Si je bois, c'est surtout pour trouver les autres intéressants"
Elise Lucet a la phobie des chiens
Elise Lucet (51ans) a été traumatisée dans son enfance par un molosse qui avait mordu 42 habitants de son immeuble...
Source : France Dimanche du 10 avril 2015
Rediffusion
La vérité sur les euthanasies non désirées à l'hôpital ou à la Clinique
"Au départ, un constat dressé par le professeur Lemaire - Depuis une vingtaine d'années on est capable, en réanimation, de prolonger quasi indéfiniment tout le monde. Or c'est techniquement impossible. Si on se met à prolonger tous les agonisants, imaginez les moyens à mettre en oeuvre. Les réanimateurs ont dû se résoudre à laisser mourir ces survivants sans espoir. Dans quelles conditions ? - Lorsqu'il y a 20 ans, un médecin décidait d'un arrêt des soins, il le faisait tout seul, dans la nuit, sans prévenir personne - Tous les jours, les réanimateurs débranchent des malades et accompagnent leurs gestes d'injections médicamenteuses. Le nombre total des décès qui font suite à de telles décision dépasse largement les 100 000 par an. La médecine doit gérer la mort sans aucune base légale et tenir une tolérance pour une approbation
- Nos collègues sont inquiets. Une étude a ainsi montré que sur 550 réanimateurs interrogés, 20 % pensent que ce qu'ils font est illégal, même s'ils le font correctement. Les conséquences sont importantes car ils préfèrent ne pas respecter la transparence (ils ne disent même pas aux infirmières ce qu'ils font, ils ne le marquent pas dans les dossiers, et ils ne disent pas aux familles).
La médicalisation de la mort conduit partout aux mêmes impasses. Dans les unités de soins palliatifs, les centres de cancérologie ou les services de maladies neurodégénératives, les médecins administrent des médicaments qui précipitent le décès toujours sans l'accord des patients et de la famille - En soins palliatifs, nous risquons d'être en procès tous les 8 jours parce que nous n'allons pas vers une obstination thérapeutique - Et le médecin de préciser que son établissement est l'objet de plaintes pour homicide volontaire et refus de traitement thérapeutique -
Peut-on se référer à des "bonnes pratiques" même codifiées, pour juger de questons touchant à la vie humaine ?"
Soruce "le divorce français" de François De Closets
Rediffusion d'une note du 28/04/2010 19:44