sante

Le cholestérol jouerait un rôle peu ou pas important dans les AVC et l'infarctus du myocarde. Ce qui encrasse les artères, ce sont les triglycérides et d'autres graisses du sang moins connues encore... 

Malgré tout, nos médecins prescrivent des statines contre le cholestérol comme des bonbons. Pourquoi ? parce que l'industrie pharmaceutique a convaincu les autorités sanitaires d'élargir la prescription des statines aux bien-portants dont le taux de cholestérol serait trop élevé, on appelle cela la prévention primaire. Malgré l'absence d'efficacité des statines à des usagers de la santé sans facteur de risque particulier, on en prescrit toujours plus, en omettant de signaler à ces consommateurs de statines, que les statines présentent des effets secondaires comme le diabète ou des atteintes musculaires dont certaines sont parfois mortelles...

Les statines diminueraient seulement de 2 % le risque de décès.

Plusieurs études ont montré qu'un régime pauvre en graisse animal et très riche en oméga-6 fait bien baisser le taux de cholestérol mais il augmente le taux de mortalité. Les oméga-6 en excès favorisent l'inflammation, la plaque d'athérome...

En France, 6;4 millions de personnes prennent ces molécules depuis 2016... Et tout cela coûterait plusieurs millions d'Euros par an à la sécu. Et que dire de toutes les consultations inutiles, onéreuses et nocives....

Cela peut indiquer un reflux gastro-œsophagien. Hélas, trop peu de médecins traitants y pensent ou ne connaissent pas... La maladie mime les symptômes de l'angine sans en être une.

Il en est de même pour les amygdales cryptiques. Elles sont remplies de petites cavités qui se remplissent de caséum (substance blanchâtre) et => une amygdalite chronique fort désagréable.

L'IVG par voie médicamenteuse est la plus pratiquée. Elle est présentée souvent comme la méthode idéale à toutes les femmes en âge de procréer, aux 11-39 ans. 

Entre 9 et 14 semaines d'aménorrhée (absence de règles) , l'IVG médicamenteuse ne serait pas la méthode idéale. Après 9 semaines d'aménorrhée, il faudrait pratiquer une aspiration du contenu utérin, sous AG ou anesthésie locale. Or certains médecins pratiquent les IVG médicamenteuses jusqu'à 40 semaines d'aménorrhée... La pratique n'est pas la théorie. 

A strasbourg, par ex, 95 % des jeunes filles et des jeunes femmes subissent une IVG médicamenteuse, quels que soient leur âge, le terme, leur histoire (rapports consentis, viols, incestes, accidents, etc.). 

L'IVG médicamenteuse a permis aux adolescentes et aux jeunes femmes réticentes à subir une anesthésie et à passer au bloc d'interrompre leur grossesse si elles le désiraient. 

A domicile :

Les femmes peuvent faire une IVG à domicile, "tranquillement" chez elles. L'expulsion a lieu chez elles.

Ne restez pas seules (compagnon, amie, mère, voisine etc.). Il peut y avoir des complications, hémorragiques notamment...  Vous devrez revoir votre médecin traitant pour une visite de contrôle, 3 semaines plus tard. Tous les médecins généralistes ne pratiquent pas les IVG médicamenteuses...

 A l'hôpital ou en clinique :

Le protocole médical est bien connu des très jeunes femmes  (11 -17 ans) et des jeunes femmes.

-La prise du mifépristone ou RU 486  (qui interrompt la grossesse). Il provoque des contractions et l'ouverture du col. 

- 48 h plus tard, seconde prise d'un médicament, le misoprostol (Cytotec) qui augmente les contractions et provoque l'expulsion du foetus.

 Convoquées à 7 h 30, les jeunes patientes sont installées dans une chambre et visitées régulièrement par une infirmière, et parfois par une sage-femme, qui surveille les effets indésirables (nausées, vomissements, etc.), la douleur des contractions (antalgiques), les saignements (hémorragie) et elle vérifie que l'expulsion a bien eu lieu. Si ce n''est pas le cas, une aspiration sera faite en fin de journée par un gynécologue. 

Plus la grossesse est avancée plus les patientes optent pour la chirurgie (aspiration) si on leur laisse le choix...

C'est très différent de la vivre à 8 semaines ou à 14 semaines. La taille de l'oeuf n'est pas la même et les risques de complications sont plus importants à 14 semaines. 

Jusqu'à 9 semaines, l'IVG médicamenteuse ressemble à une "simple" fausse couche. Mais au delà, elle est plus proche d'un accouchement et c'est pour cela que les femmes préfèrent la chirurgie. Les douleurs sont importantes, l'attente est très longue  (10 heures) et les hémorragies importantes. Les risques  d'échec de l'IVG médicamenteuses (38 %) sont plus élevés qu'au bloc (il est bien rare qu'un gynéco ne parvienne pas à tuer le foetus). A ce stade de la grossesse, les très jeunes femmes et les jeunes femmes n'expulsent plus un oeuf, mais un foetus formé, leur foetus, leur bébé.  Il mesure, en moyenne, 7 à 10 cm.  Sous anesthésie générale, la maman ne voit rien, elle n'entend rien, elle ne sera pas traumatisée surtout si elle est très jeune et très sensible, elle n'assiste pas à l'assassinat du foetus. En 10 mn, c'est fait ! 

L'IVG sera mieux vécue si la femme a pu choisir la méthode qu'elle désirait, si on ne lui en a pas imposée une d'office, et également si elle a été informée, et correctement, de ce qui allait se passer... 

Malheureusement, dans une situation de grande détresse, on accepte tout, mais vraiment tout... Et ces jeunes femmes sont prêtes à accepter n'importe quoi pour qu'on leur fasse une IVG. Certaines déprimeront ensuite des années, d'autres deviendront folles et d'autres encore se suicideront. 

De moins en moins de gynécologues s'intéressent à l'IVG, c'est une activité peu lucrative pour eux. L'acte devrait être mieux rémunéré : de 1 500 à 3 000 euros. 

Les IVG par aspiration nécessitent un bloc opératoire et cela coûte cher. Alors que la technique médicamenteuse ne demande que du personnel soignant, des antidouleurs et parfois un médecin pour évacuer ce qu'il reste du placenta après l'expulsion de l'embryon ou du foetus. 

En 2017, on ne devrait plus dire "J'attends un bébé" mais "J'attends un embryon"  pendant 12 semaines, selon nos bien-pensants, si on était cohérent...

un foetus de 3 mois ou 12 semaines.

  Rediffusion d'une note du 26/06/2011

Allongement du délai légal de l'IVG à 14 semaines de grossesse (loi du 2 mars 2022)

 L'IVG chirurgicale peut être pratiquée jusqu'à la fin de la 14e semaine de grossesse, soit 16 semaines après le début des dernières règles. L'IVG médicamenteuse est pratiquée jusqu'à la fin de la 7e semaine de grossesse, soit au maximum 9 semaines après le début des dernières règles.

Le 31/10/2022

Notre capacité de résister au virus se joue souvent dans l'enfance. Et si vous n'avez pas souvent la grippe, il y a peu de "chance" que vous ayez la Covid-19. Pour être solide, résistant, il faut dormir au minimum 7 h par nuit. Il est préconisé de faire du sport mais pas de manière intensive surtout si vous n'êtes plus très jeune ( 40 ans et plus) car vous allez vous épuiser et il faut être en forme pour ne pas se faire attaquer par ce satané virus... Essayez de peu ou de pas fumer : les fumeurs ont 34 % de risque de plus d'attraper la grippe et s'il en était de même pour le coronavirus ? 2/3 de nos défenses naturelles se trouveraient dans notre ventre. Il faudrait éviter le sucre qui ralentiraient la réponse de nos défenses naturelles aux infections  (réalité ou croyance farfelue ?). Bannissez les sprays assainissants car ils sont mauvais pour les muqueuses respiratoires. Ouvrez plutôt les fenêtres en grand. Désinfectez mais avec modération, car en voulant trop désinfecter vous favoriseriez l’émergence de bactéries résistantes. Il est fortement déconseillé de se laver le nez (avec sérum physiologique ou autres) si on pense avoir la Covid-19 ou des symptômes car le liquide pourrait entraîner facilement le virus vers les poumons selon la Direction Générale de la Santé...

Malheureusement, 2/3 des personnes qui contractent le tétanos sont vaccinées... et 1/3 ne le sont pas. Ce vaccin est peu ou pas efficace mais très rentable pour les laboratoires, les médecins, les pharmaciens...

EXACTO® Test Tétanos est un test immunochromatographique rapide capable de détecter les anticorps anti-toxine tétanique dans une goutte de sang, permettant de connaitre son statut vaccinal vis-à-vis du tétanos. En cas de résultat négatif, un rappel de vaccination suffira à établir une protection contre le tétanos.