sante

Quand il est forcé, oui. C'est la conclusion de deux études (américaine et allemande) menées auprès de professionnels du sourire : chauffeurs de bus, hôtesses de l'air ou vendeurs. Le sourire forcé provoquerait une hausse du rythme cardiaque qui pourrait engendrer stress, dépression et problèmes de coeur. En plus il freinerait l'élimination des idées noires. Il est sûr qu'il ride prématurément les peaux fines. Moralité : si vous êtes du genre à faire la gueule, ne vous privez pas. Les gens qui sourient chaque fois qu'ils tombent un oeil peuvent se réjouir.

Pour cela il vous suffit de :

• manger des fruits
• manger des légumes
• manger du poisson
• utiliser de l'huile d'olive ou de colza
• manger des céréales
• avoir une consommation très faible de fritures
• éviter les sauces
• diminuer considérablement votre consommation de beurre, de lard, de saindoux
• éviter les charcuteries
• manger très peu de fromage
• manger très peu souvent des viandes grasses

Les gardes de médecins libéraux en «nuit profonde» (de minuit à 8 heures) tendent à disparaître : elles n’existent plus du tout dans 22 départements.

Ils veulent une meilleure qualité de vie. Dans les cabinets regroupant plusieurs praticiens exerçant en commun, les praticiens ne travaillent que 4 jours par semaine et se reposent 3 jours, et certaines femmes ne travaillent plus que 2 ou 3 jours et se reposent 4 ou 5 jours par semaine. Grâce au médecin traitant, ils ont une clientèle fidèle et régulière, ils refusent les nouveaux patients...

Rediffusion d'une note de fév. 2014

Il permettrait seulement de sauver ou de rallonger une vie humaine pour 2 000 personnes dépistées. Sur 2 000 personnes dépistées, 10 seront traitées inutilement (mastectomie ou ablation du sein, chimio, radiothérapie, etc.). Pourquoi ? A cause des surdiagnostics ou des erreurs de diagnostics (volontaires ou involontaires). Un des avantages notables du "surdiagnostic" permet d'augmenter le nombre de rémissions des cancers et surtout de guérisons... et de faire honneur à la  médecine. 

Le collectif Cancer Rose prétend que le dépistage ne repère pas les "cancers les plus agressifs", ceux qui se développent très vite, les cancers fulgurants, qui passeraient au travers du filet. Seuls les "petits cancers d'évolution lente" seraient détectés. Et certains de ces "petits cancers". auraient régressé sans AUCUN traitement... Le collectif  Cancer Rose affirme que la patiente aurait décelé elle-même une grosseur pour "un petit cancer" du sein et aurait été voir son médecin traitant pour la soigner. 

Je conseille aux femmes de plus de 50 ans de continuer à faire le dépistage car le collectif Cancer Rose ne me semble pas toujours très cohérent dans ses allégations. Le dépistage doit également détecter des cancers agressifs...

Mais dans de nombreux cas, on pourrait leur montrer quelques gestes simples pour se passer d'infirmière.

Ces patients y gagneraient en autonomie et ils allégeraient considérablement les soins infirmiers. Le gain serait de 1 milliard, une somme considérable.

Rediffusion d'une note de déc.2012