Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Vivreaupresent

actualites

Bientôt la fin des CDI. Et ce sera la naissance du contrat unique sans référence, sans sécurité de l'emploi, c'est l'avenir...

27 Septembre 2022 , Rédigé par Authentiqua Publié dans #Actualités

 

 

Après avoir constaté qu'en France les chances d'évoluer d'un CDD en CDI sont passées de 45 % à 12,8 % en seulement 15 ans, alors qu'il en est de 26 % en Europe, la Commission européenne, qui a énormément de pouvoir, veut que la France revoie à la baisse la sécurité de l'emploi, offerte par le CDI. Ce serait une porte ouverte pour la proposition de mise en place d'un contrat de travail unique sans référence de durée fusionnant CDD, intérim et... CDI.

 

 

 

 

 

Rediffusion d'une note du 30/09/2012

Lire la suite

Comment devenir célèbre ? En écrivant un livre après une tentative de meurtre...

19 Juillet 2022 , Rédigé par Authentiqua Publié dans #Actualités

 

 

 

Lors du défilé militaire du 14 juillet 2002, Maxime Brunerie tire sur le président Chirac, avant de retourner l'arme contre lui,en vain, puis d'être maîtrisé. Ce garçon sans cartable qui pousse la porte des éditions Denoël, à Paris, ce jeune homme très courtois qui rosit facilement, est-ce bien l'affreux facho condamné en décembre 2004 à dix ans de prison ferme pour avoir voulu "buter" le président Jacques Chiracun beau jour d'été? Oui. Lorsque Maxime Brunerie a retrouvé le soleil, en août 2009, après sept ans passés derrière les barreaux, ses rares amis, sa soeur cadette, Clémence, avec qui il est longtemps resté fâché, l'ont découvert plus grand, moins chétif. "Je me tiens droit, c'est ça la nouveauté", dit-il.  L' oeil gauche ne se fait plus la belle depuis une opération au laser. La raie est moins parfaite, le timbre de la voix, égaré quelque part entre l'adolescence et la maturité. L'acné qui dévorait son visage a disparu, gommé par ces années de taule qui comptent double et les bienfaits des huiles essentielles, sa nouvelle passion. L'ancien coup-de-poing du GUD et d'Unité radicale s'autorise encore quelques décharges des Sex Pistols et des Trotskids, au réveil. "Ça me donne la pêche." Le reste du temps, il roucoule avec Delphine, sa nouvelle copine, en épluchant des légumes bio au son de Radio Nostalgie ou des ballades fleur bleue de James Blunt. La bière? "Une fois par mois, pas plus", affirme l'ancien trésorier de la Section 3B (pour bière, baise et baston). Le PSG? "Je ne mets plus les pieds au stade." La politique? "Rien à faire." L'ancien candidat du Mouvement national républicain de Bruno Mégret aux municipales de 2001 a d'ailleurs voté blanc aux dernières élections européennes. Enfin presque. "J'ai écrit "Maxime Brunerie" sur mon bulletin." Après tout, on n'est jamais aussi bien servi que par soi-même. 

Confessions de l'homme qui voulait tuer Chirac

Maxime Brunerie: "La prison m'a appris à considérer les autres en tant qu'individus", admet celui qui a passé sept ans derrière les barreaux.

Jean-Paul Guilloteau/LEXPRESS

Les tisanes bio ne guérissent pas de tout. L'exalté qui hurlait "Merde aux gauchos et aux mollahs juniors!"quand il passait son "Deug-cafète" à Assas a définitivement rompu avec le mouvement "faf". Y a-t-il jamais cru? "Non, même si je suis sensible à l'amour du drapeau et un peu réac. L'idée était surtout de dire: j'ai 20 ans et je t'emmerde", reconnaît-il. Mais Maxime l'enragé, l'asocial, "l'anarchiste tendance autiste" comme le surnommait Christian, le braqueur à l'ancienne devenu inséparable compagnon de promenade au centre de détention de Val-de-Reuil (Eure), n'est jamais loin. Il hante les pages d'Une vie ordinaire, récit autobiographique publié le 6 mai chez Denoël.L'itinéraire tragique et parfois comique d'un ado souffreteux au corpus brun et aux idées noires, un garçon attachant en proie à une immense détresse affective, un paumé, "seul, narcissique, misérable", qui a échoué dans toutes ses entreprises, y compris la plus spectaculaire d'entre elles: ce grand final du 14 juillet 2002 avec tambour, trompette et pétarade de 22 long rifle qui devait inscrire son nom en lettres de sang dans l'Histoire, tel un Ravaillac des temps modernes. "Les faits sont bien plus pathétiques que pathologiques", avait relevé l'un des cinq experts psychiatres cités devant la cour d'assises de Paris en décembre 2004. Philippe Bilger, l'avocat général, avait parlé d'une "passion puérile de l'interdit".  

Mon enfance, c'est l'ennui à l'état chimiquement pur 

"C'est vrai", convient l'intéressé, qui se félicitera toute sa vie durant de sa "maladresse" au moment de passer à l'acte. Posté à l'abri des badauds sur les Champs-Elysées, Brunerie avait tiré en direction du cortège présidentiel avant de retourner - en vain - son arme contre lui. Placé en garde à vue quelques heures plus tard, le jeune homme avait fondu en larmes. "Je réalise soudain que j'ai voulu tuer froidement, sans aucune raison valable, un homme qui ne m'avait rien fait", écrit-il. "Si je rencontrais le garçon que j'étais alors, je lui mettrais une bonne paire de gifles et lui dirais de se bouger le cul", lâche-t-il aujourd'hui.  

Une autobiographie sans concession

Brunerie n'a aucune indulgence avec lui-même. C'est la force du personnage et de son récit. Il n'en témoigne pas davantage pour les autres, c'est ce qui le rend désarmant. Son avocat, Pierre Andrieu, semble ne lui avoir laissé qu'un seul souvenir: "Bavard." Stéphane Beaudet, le dynamique maire de Courcouronnes (Essonne), qui a tant mis en oeuvre pour soutenir ses parents, ne s'en sort guère mieux. C'est pourtant lui qui a suggéré le nom de Me Andrieu à Annie et Jean Brunerie, les parents de Maxime, revenus en catastrophe de leurs vacances à Ibiza au lendemain de ce maudit 14 juillet 2002. Le jeune élu UMP a également rendu possible la rencontre secrète entre Jacques Chirac et Annie Brunerie, ancienne militante RPR, en mai 2005, à la demande de celle-ci. Une fois libéré, un BTS d'assistant de gestion en poche - il a obtenu son diplôme en prison -, Maxime a bénéficié d'un contrat de deux ans à la mairie de Courcouronnes. "La collaboration s'est très bien passée, témoigne l'édile. Maxime a un bon fond, mais il appartient à cette génération Facebook assez ingrate et inconsciente des conséquences de ses actes. En l'aidant, je n'attendais rien. J'ai simplement fait mon boulot et aidé sa mère, qui était désespérée et dont la vie est brisée." 

Une famille absente

La famille, cette grande absente du livre de Brunerie... Ah si, au bas de la page 117.Shooté au Zyprexa un antipsychotique puissant, buté dans sa révolte, voilà le jeune détenu subissant pour la première fois le regard des siens au parloir de la prison de la Santé: "Ah! le visage de la mère... Mon Dieu, ce reproche vivant que je croyais ne plus devoir affronter. Et la voilà en mater dolorosa, portant sur ses traits tirés toute la honte d'avoir engendré un fils aussi indigne." Neuf ans plus tard, la colère s'est muée en indifférence."Mon enfance, c'est l'ennui à l'état chimiquement pur", résume-t-il. Un père, agent de maîtrise à la Snecma, transparent - "On est obligé d'assister au procès?" aurait-il dit la veille du grand rendez-vous de son fils avec la justice. Une mère informaticienne, "paranoïaque" et "castratrice". "Je n'avais droit ni à la colo, ni aux sorties, ni au sport, ni rien... Sans cette prison familiale, j'aurais vécu une crise d'adolescence comme les autres et serais rentré dans le rang au bout d'un an."Prison, enfermement, les mots percutent comme des verdicts d'assises. Courcouronnes et Val-de-Reuil, même enfer carcéral, vraiment? "Je suis passé d'une cellule à l'autre, déclare-t-il. La première partie de mon existence me laisse le sentiment d'un terrible gâchis. La prison est une non-vie, mais elle m'a appris à considérer les autres en tant qu'individus. Il a peut-être fallu cet acte irrationnel et brutal pour que je puisse rompre avec mon passé." 

C'est fait. Le pavillon blanc de Courcouronnes a été vendu il y a quelques mois. Annie et Jean Brunerie ont filé vers le sud, loin de toute pression médiatique et de ce garçon qui n'envisage le bonheur pour l'instant que loin d'eux. La parution d'Une vie ordinaire, qu'ils ont apprise par hasard, les ronge d'inquiétude. Maxime ne veut pas y penser. Il vient de créer une petite affaire d'achat et de vente en ligne d'ouvrages rares et se rêve écrivain ou libraire.Sa prochaine lecture s'impose: le tome 2 des Mémoires de Jacques Chirac, qui paraît en juin. "Je vais me précipiter sur le passage du 14 juillet!" Parfois, l'ancien détenu repense à Alpha, l'Africain sapé aux couleurs de l'OM, à Kader, Kaï, Omar, Christian, à tous ces braqueurs, dealers, pointeurs devenus ses frères d'infortune et laissés entre les murailles de béton de Val-de-Reuil. Mais pas très longtemps. "L'amitié n'existe pas vraiment en prison. Le plus dur, c'est trouver le ton juste au moment de partir." Maxime n'a jamais dit au revoir à ses parents.  

 

 

 

Sa notoriété lui permet aujourd'hui d'écrire un livre ou de le faire écrire par un nègre, allez savoir... Et quelle notoriété !!! Je pense qu'il ferait mieux de se faire oublier, ce serait mieux pour tous. Je préfère 1 000 fois les stars de la télé-réalité qui sont devenues célèbres sans aucun talent particulier à un personnage comme lui, elles méritent plus à être connues que cet individu. 

 

D'autres adultes ont eu des enfances malheureuses, tous ne sont pas devenus des meurtriers pour autant. Une manière de se déculpabliser sans doute.  

 

"La prison m'a appris à considérer les autres en tant qu'individus". Il aurait été obligé de passer par la case prison pour apprendre cela,  je n'en ai pas eu besoin et je pense que c'est également vrai pour la plupart des personnes qui vont lire cet article. La prison n'aura pas été inutile. Les psychopathes sont des êtres humains qui ne considèrent pas les autres humains comme des individus...  Il a voulu tuer Jacques Chirac sans aucun mobile, peut-être seulement pour devenir une célébrité. 

 

J'espère que son livre dissuadera d'autres meurtriers potentiels de tuer Nicolas Sarkozy ou Martine Aubry ou Marine Le Pen.

 

Non, Monsieur Brunerie, je n'achèterai pas votre livre !

 

 

Rediffusion d'une note du 04/05/2011

 

 

Lire la suite

Faut-il vous faire vacciner contre le Covid ?

5 Décembre 2021 Publié dans #Santé, #Actualités

 

Pour commencer, nous allons parler des deux sortes de vaccins .

- Les vaccins vivants atténués. Ce sont les plus anciens. Ils sont constitués de germes vivants (virus, bactéries). Ils ont évidemment été modifiés pour perdre leur pouvoir infectieux et donc leur dangerosité.  C'est le cas du vaccin contre la tuberculose  (efficace à 75 %). On l'appelle le BCG. C'est aussi vrai pour le vaccin contre la varicelle ou le ROR (rougeole- oreillons-rubéole). Il est important de rappeler que ces vaccins sont déconseillés aux femmes enceintes et aux personnes immuno-déprimées ( dont le système immunitaire n'est plus capable de faire face correctement face à des agents pathogènes comme des bactéries, des virus, des parasites). Comment savoir si on est immunodéprimé ? L'immunodépression se caractérise par la répétition, environ 4 à 10 fois dans l'année, de maladies graves comme des pathologies respiratoires, la récurrence d'affections inhabituelles ainsi qu'un changement brusque dans le poids et la taille. L'immunodépression peut survenir à n'importe quel moment de la vie : à la naissance, au cours de l'enfance et de l'adolescence, ou à l'âge adulte. La part génétique est importante : si un membre de la famille est atteint de cette maladie, un diagnostic génétique sera proposé. Pas d'adjuvant dans les vaccins vivants atténués.

- Les vaccins inactivés ou inertes. Ils contiennent parfois un fragment de l'agent infectieux (sa paroi ou sa toxine). C'est le cas du vaccin contre l'hépatite B ou du tétanos) ou la totalité de l'agent infectieux qui est alors inactivé grâce à la chaleur ou à un produit chimique... Une autre possibilité, le vaccin peut contenir une toute petite partie du virus (un fragment), une protéine ou un acide nucléique (ADN ou ARN).

A la différence de  Pfizer et Moderna, AstraZeneca et Johnson&Johnson utilisent des technologies plus connues, plus fiables. Les virus sont rendus inoffensifs ou en combinant des antigènes purifiés avec des adjuvants.

Le vaccin Pfizer peut => des douleurs au niveau de la zone d'injection. Ces douleurs peuvent persister 2 à 5 jours.  Vous pouvez aussi avoir de la fièvre ou de la fatigue. Ne pas faire ce vaccin si vous avez des allergies !

 

Avec des vaccins injectés, vous allez fabriquer des anticorps dans le système général. Hélas, cela n'empêche pas le virus de rentrer par le nez et d'infecter la cavité nasale... L'Institut Pasteur travaillerait sur un vaccin sous forme de spray nasal, basé sur un vaccin atténué contre la coqueluche... qui devrait lui induire une réponse locale et empêcher la transmission...

 

On ignore totalement la durée de leur efficacité ? 2 mois ? 8 mois ? 16 mois ?

 

 

Bon courage à tous !

 

:kikou:

Lire la suite

Mis à pied pour le vol d'un stylo à bille, d'un stylo plume, d'un critérium, d'une clé USB et de quatre paquets de chewing-gums

2 Mai 2021 , Rédigé par Authentiqua Publié dans #Actualités

  

Après l'affaire des melons à Monoprix, voici une nouvelle affaire de mise à pied pour vol... de chewing-gums et de stylos.

Deux employés de l'enseigne Carrefour, située à Avignon, dans le Vaucluse, ont été mis à pied par leur direction pour avoir volé des produits dans le magasin, rapporte Le Dauphiné Libéré.

Yassine 44 ans, et l'un de ses collègues de 33 ans ont été interpellés par la gendarmerie, alors qu'il quittaient leur lieu de travail, en fin de matinée, le vendredi 8 juillet. Leur direction leur reproche le vol d'un stylo à bille, d'un stylo plume, d'un critérium, d'une clé USB et de quatre paquets de chewing-gums.

Des accusations que réfute Yassine et son collègue, en donnant l'explication suivante : "J’ai récupéré ces stylos dans l’intention de m’en servir pour le travail pas pour les voler [...] En plus, ces produits ne sont pas mis en rayon. Ils finissent à la poubelle ou bien on les donne à la Banque alimentaire. On nous a traités comme des voleurs alors que ça fait six ans qu’on travaille ici. J’occupe un poste clé et il n’y a jamais eu de problème auparavant Quoi qu'il en soit, la direction du magasin Carrefour d'Avignon affirme qu'elle a porté plainte tout en indiquant qu'elle envisage une mesure de licenciement.

Contacté par Le Post, Fabrice Bertin, le directeur du Carrefour d'Avignon, revient sur les faits.

"Ils ont été pris en flagrant délit. Ils sortaient du magasin avec des produits de l'enseigne dans les poches. Alors qu'ils ne viennent pas dire que c'était pour le travail", fustige le directeur de Carrefour.

Toutefois, difficile de savoir où les produits ont été dérobés. Dans les rayons ? En réserve ? Sur des étagères ? L'enquête permettra de le déterminer. "Toujours est-il qu'il s'agissait de produits avec un code-barre. Ils étaient donc destinés à être vendus", précise Fabrice Bertin.

 

 

Autant je peux comprendre qu'un employé (kader) puisse récupérer de la nourriture dans les poubelles de son entreprise, parce que lui et sa famille sont pauvres et que la nourriture ne sera pas vendue; autant je ne peux pas comprendre qu'on puisse voler dans son entreprise des produits avec des codes-barres, destinés à la vente. Si on vole son patron, son entreprise, on peut voler tout le monde... Curieusement, certains employés qui se trouvent pas assez bien rémunérés, pensent normal de voler dans les rayons... Ils savent où se trouvent les code-barres et ils pensent qu'ils courent peu de risque de se faire prendre. Ces mêmes personnes sont scandalisées par les vols, petits ou importants, commis par de simples clients. Les vols des employés des supermarché se banalisent, à l'instar de ceux de certaines aide-soignantes, infirmières et ASH qui jugent légitime de voler les gâteaux et les cadeaux des résidents de maison de retraite ou des personnes vulnérables en milieu hospitalier.

 

 

Rediffusion d'une note du 13/07/2011

Lire la suite

Les gilets jaunes sont devenus fous à lier... Enlevez vos gilets jaunes pour dire NON à la révolution, NON à la guerre civile !

1 Mai 2021 , Rédigé par Authentiqua Publié dans #Actualités

 

"Samedi ce sera l’aboutissement final. Samedi c’est l’Elysée. On aimerait bien aller tous à l’Elysée. Il faudra vraiment que samedi on soit tous unis jusqu’au bout et qu’on avance en direction de l’Elysée» no" a écrit Drouet, l'une des figures du mouvement. 

Aujourd'hui, je me demande comment on peut encore être gilet jaune quand on lit de telles choses, c'est terrifiant !  Pour moi, il est inconcevable que des personnes sensées puissent encore adhérer à ce mouvement. Pour être encore gilet jaune, il faut être un inconscient ou être un détraqué. Je ne vous cacherai pas que je n'ai jamais été gilet jaune. Pourquoi ? Parce que dès le départ, j'ai compris que les revendications étaient très nombreuses et très différentes et souvent contradictoires entre gilets jaunes, pt1cable:{} et ils n'étaient donc pas crédibles. Je suis sidérée que des hommes politiques tels que François Hollande et Laurent Wauquiez n'aient rien vu venir, n'aient rien compris ...  et qu'ils aient entraîné leurs admirateurs à participer à ces manifestations. Nicolas Sarkozy a été plus sage, il n'a pas donné son avis. yes

Il y a trop de gilets jaunes qui veulent une révolution, heink:{} il suffit de lire les pancartes aux ronds points pour le constater. Ces gilets jaunes sont donc des sanguinaires, des sadiques ou des malades mentaux dangereux. Même entre eux, ils se menacent de mort, ces individus sont des voyous, ce sont des méthodes de voyous. Et ça veut gouverner !

Demain, je vous demande de défiler dans le calme et pour la dernière fois... et de ne pas monter à Paris. Je veux sauver la République et je veux sauver la France, sauvez ma vie, votre vie et la vie de vos enfants. Je ne veux pas que les enfants de notre nation soient sacrifiés et qu'ils meurent égorgés ou tués par balle. Vous et moi, nous sommes le peuple. Je suis la France d'en bas qui parle à la France d'en bas. Je veux aussi sauver la vie de notre président, Emmanuel Macron et je veux qu'il reste au pouvoir.

Même en anonyme, j'ai été menacée de mort sur internet. On me promet de me retrouver... parce que je défends Mr Macron,:D notre président de la République, qui me parait bien plus sain d'esprit que les gilets jaunes, tellement moins barbare que les gilets jaunes et bien plus apte à diriger notre pays. La liberté d'expression, ce n'est pas avec eux qu'on l'aura... ni la sécurité... Ah, ils sont bien les gilets jaunes...  :D

Je pense que la majorité  des gilets jaunes n'ont pas réfléchi une seconde à l'avenir qui les attendait en voulant "tuer la république" , ils n'ont pas pensé qu'ils mettraient aussi le pays à feu et à sang. Ce sont des moutons, des suiveurs qui n'anticipent pas les conséquences de leurs actes, et qui, demain, regretteront tellement de ne pas avoir fait travailler leurs neurones... Mais ce sera trop tard. Alors je leur dis STOP, pendant qu'il en est encore temps.

 Je ne veux pas que ce soit un général qui succède à Emmanuel Macron et instaure une dictature. Et je veux encore moins d'un Robespierrre ou d'un Danton pour gouverner la France, je veux Mr Macron.

Merci aux journalistes qui se démènent sans relâche pour tenter de faire entendre raison aux gilets jaunes.

Je suis la République, je suis Emmanuel Macron, je suis la France.

 

 

Le 09/12/2018

Rediffusion

Lire la suite