Virginie Efira aime le vin blanc
Virginie Efira aura 46 ans le 5 mai. Elle n'a rien d'une senior, elle est toujours resplendissante.
"La psychanalyse, c'est comme le cinéma : c'est l'endroit de l'écoute, l'endroit du mystère, c'est fascinant. Moi, je pourrais passer mon temps à boire du vin blanc et disséquer chaque détail de la vie. Celle des autres surtout. Disserter sur soi, c'est toujours moins intéressant, non ? Pas forcément..." a allégué Virginie Efira.
"Je n'ai pas de paroles tranchantes. A chaud, je suis capable de dire une chose et son contraire : si ça se trouve à l'arrivée, personne ne comprend rien à ce que je raconte. Bon, faudrait sans doute, que j'aille voir un psy, moi... Et que j'y aille vraiment cette fois" a raconté Mme Eifira.
"Je préfère le rapport à 2, où on dissèque l'humain, où on touche à l'intime. Sinon qu'est qu'on se fait chier !" a déclaré la jolie Virginie.
"Se définir, je sais pas ce que ça veut dire, en dehors de l'autre. Moi, je conçois une identité sociale déterminée par les autres, donc forcément mouvante" a expliqué Virginie Efira.
"A Paris, j'ai fait l'apprentissage d'une certaine dureté" a allégué Mme Efira. Le père de Virginie était médecin, il avait "le goût de l'effort", il préférait monter l'escalier que de prendre l'ascenseur. Sa mère adorait la vie et elle disait souvent : "Il faudrait essayer d'être heureux, ne serait-ce que pour donner l'exemple."
Source : Psychologies (sept.2022)
Le 17/03/2023