La violence familiale, on commence, enfin, un peu à s'y intéresser...

Il existe une forme de violence, très fréquente encore où les victimes se retrouvent totalement détruites, et à l’insu de tous, c’est la violence psychologique.

Des violences qui n’ont jamais été une priorité, elles ne troublent pas l’ordre public, ça reste en famille...  Les plus sympathiques disaient, et disent encore «Ca ne nous regarde pas» et les autres se délectent de cette violence, de cette folie, c’est un sujet de moquerie, la femme serait forcément un peu simple d’esprit et les enfants pas très intelligents, également...  Les femmes battues et les enfants victimes de mauvais traitements sont souvent méprisées voire accusées d’être des mythomanes.  
Les femmes humiliées, battues, menacées de mort et sont encore trop souvent qualifiés de simples «différents familiaux». Il y en a tellement... 
Et toutes ces femmes victimes de violences verbales, physiques retournent trop souvent vers leurs bourreaux quand elles ont porté plainte et qu’elles ont été dans des foyers d’hébergement (dépendance, masochisme, aliénation..). 
Ce n’est qu’en 2006 qu’a été voté une loi qui reconnait le viol sur conjoint, et il a été rajouté un paragraphe sur les violences contre les enfants, sur l’inceste, mais sans l’écrire, c’est un mot tellement tabou, tellement de géniteurs ne voient pas où est le mal de violer son propre enfant en 2014...
La violence conjugale bénéficie du secret du privé, ce qui permet aux auteurs d’asseoir leur contrôle dans l’impunité. Elle constitue la forme la plus fréquente de violence envers les femmes. Elle fait partie de l’héritage patriarcal qui est caractérisé par le déséquilibre des rapports de pouvoir entre les sexes dans nos sociétés". Plus la violence exercée sur la femme est récurrente, plus longtemps elle l'enferme dans un huis clos qui devient une véritable prison, plus ses effets seront graves pour elle et pour ses enfants.

L’observation d’un homme violent ou fou ne permet pas de prévoir son comportement en milieu ouvert, quand il est à l’hôpital psychiatrique ou en prison. Il change très rapidement de rapidement de personnalité, il s’adapte vite, il est «sociable».

1 femme en meurt tous les 3 jours et les enfants sont souvent tués en même temps...