On respire mieux dans nos villes qu'au XIX e siècle, moins de pollution
A Paris, depuis 1992 (26 ans), les baisses sont de 50 % pour les oxydes d'azote, le monoxyde de carbone et les particules fines. Et les baisses sont même de 70 % pour les fumées noires et de 100 % pour le dioxyde de souffre. C'est nettement mieux qu'au début de l'ère industrielle où les usines n'étaient pas contraintes par aucune réglementation. En 1883, Lille avait connu un épisode de pollution à l'acide sulfureux. Ca attaquait les bronches mais aussi les toits de zincs...