Pour être heureux, il faut se défaire de la mentalité de victime
Une victime ne profite pas de la vie, elle est trop occupée à s’apitoyer sur son sort, à ruminer, à se sentir impuissante, à se poser en martyr, à s’inquièter, à pleurer, à se plaindre en permanence, à voir le mauvais côté des choses, à ne profiter de rien et à adresser des reproches à tout le monde. Tout ça ne respire pas le bonheur, mais le malheur... Il suffit de regarder autour de soi pour voir qu’il y a une véritable épidémie de victimisation, de personnes dépressives, névrosées. Pourquoi nous immergeons-nous dans tant de pesanteur et de malheur ? Il est dangereux de se définir par son statut de victime, et non par la force incroyable qu’on avait pour faire face aux évènements, quelle que soit leur atrocité.