Vivreaupresent

"Est-ce que si j'ai un vagin, je ne réfléchis pas comme quelqu'un qui a une verge ? Pourquoi une femme devrait être ce que l'on appelle jolie alors qu'un mec, on s'en fout, on dit qu'il a du charme. Chez une nana, on dit qu'elle est moche ? C'est un peu con..." a affirmé la blonde et poliante Corinne Masiero (54 ans).

Source : Télé-Loisirs (octobre 2017)

Note du 28/05/2018

Rediffsuion 

La Turquie est un système nationaliste et totalitaire sournois où l'Etat est omniprésent et où la liberté d'expression n'existe pas. Près de 100 journalistes y sont actuellement emprisonnés...

Ce pays entend tourner le dos à l'Europe et jouer un rôle capital dans la fédération de l'Islam du bassin méditerranéen.

Rediffusion d'une note du 24/04/2012

JoeyStarr est un senior. Il a 55 ans.

"L'addiction pour moi, c'est une manière de suspendre le temps" a révélé Didier.

"J'ai arrêté le shit très tôt. Ca ne me correspondait pas du tout. Je suis un hyperactif, la léthargie ne m'allait pas du tout" a confié le chanteur à Rose.

Il a consommé de la cocaïne mais aussi du crack. "J'ai failli me tuer en foutant le feu au lit, avec une pipe qui brûle le sommier. J'étais un très mauvais toxicomane. Quand il fallait cuisiner le truc, je m'en foutais partout. Je n'aurais pas pu me piquer à l'héroïne, tout ce cérémonial, ce n'est pas mon truc " a allégué JoeyStarr

JoeyStarr a failli mourir avec des somnifères, une drogue que l'on peut avoir sur ordonnance. Comment ça s'est passé ? "J'ai pris un truc pour dormir, finalement je l'ai surdosé. D'un seul coup, je me suis dans une pièce avec plusieurs personnes" a affirmé le chanteur. C'est son frère qui s'est aperçu qu'il allait mal et a appelé les pompiers.

Source : Podcast "Contre-addictions" de Rose (la chanteuse)

Le 14/03/2023

64 % des Français s’attribuent un niveau élevé de culture générale et même 73 % des sondés estiment  avoir un niveau de culture plus élevés que la moyenne. 

Sondage Ifop

Note de 2018

Redifusion 

 

Mais le lieu, censé ouvrir à l’automne sur un terrain prêté par la SNCF, est encore loin de faire l’unanimité. La réunion publique organisée par le maire PS du Xe, Rémi Féraud, a souvent tourné à la foire d’empoigne. Car le maire a beau marteler son souhait de «concertation», les antis n’en démordent pas : «Nous subissons votre décision, s’exclame un membre de l’association de riverains. les riverains redoutent que la future «salle de shoot» ne devienne un nouveau «point fixe» de consommation, s’inquiètent des désagréments pour les habitants, familles et enfants, et pointent du doigt un projet à leurs yeux mal ficelé. Valérie, qui se demande ce qu’il adviendra «des personnes, qui, dans un accès de schizophrénie lié à la drogue, pourront avoir des actes violents». Carole, «citoyenne lambda», ne veut pas que la salle attire les«toxicomanes venant de Paris, sa banlieue, et même beaucoup plus loin». Elle évoque la proximité de «deux crèches, situées à 300 et 350 mètres, d'un lycée, d'écoles» et s'inquiète d'un risque de recrudescence de la délinquance dans le quartier. «Comment allez-vous gérer cela ?», demande-t-elle au maire. Une habitante demande s’il lui faudra recruter «un garde du corps» pour son fils, qui va entrer en sixième. Une autre vient «au nom de [sa] mère, qui a 90 ans». «Ce qui me fait peur, ce ne sont pas les seringues, mais les drogués qui attaquent.» Elle croit que les prix de l’immobilier dans le quartier vont «s’effondrer». Pierre, «jeune citoyen parisien», fait mine de s’interroger : «Est-ce que vous luttez contre l’obésité en proposant une barre chocolatée ? On n’a pas besoin de mieux se droguer, mais de ne plus se droguer.»

 

Myriam El Khomri, adjointe au maire de Paris chargée de la sécurité, affirme de son côté que «l’expérimentation ne fonctionnera que si on la concilie avec des objectifs de sécurité publique». Elle promet que la salle ne sera ouverte que si des renforts policiers sont déployés autour de la gare du Nord.

 

Ouverte 7 jours sur 7, la salle prévoit de recevoir 80 à 100 usagers par jour, de "la mi-journée à 22 heures.

 

Rediffsuion d'une note de juin 2013